Virgina Tech

Le 16 avril dernier, une nouvelle tuerie a prit place aux États-unis. À Virginia Tech dans l’état de la Virginie. 33 personnes ont été tuées, plusieurs ont été blessées et le coupable s’est suicidé.

En réalité, il y a eu deux fusillades, mais un seul meurtrier. Ce dernier a agit dans une résidence universitaire peu après 7h00 le matin. Il a fuit pour revenir deux heures plus tard dans un bâtiment où se trouvent des salles de cours. Le tireur était un jeune sud-coréen âgé de 23 ans qui étudiait là-bas : Cho Seung-Hui. On raconte que ce dernier entrait dans les salles de classe, tirait de 8 à 12 coups de feu et ressortait pour se diriger vers une autre classe.

« Cho Seung-Hui était un garçon très solitaire », nous raconte la plupart de ses professeurs. Il aurait même mit feu à l’une des résidences du campus peu de temps avant la tragédie. Il écrivait des textes morbides pour la plupart et qui racontait une telle violence que certaines élèves de ses cours ne comprennent pas pourquoi elles n’ont pas pu voir les signes avant la tragédie.

Suite aux récents événements de ce type au cours de l’année scolaire 2006-2007, j’en viens à me demander s’il ne serait pas nécessaire que chaque école ait sa propre protection contre des tragédies de ce genre. J’ai conscience qu’il s’agit de quelque chose de complexe, cependant à chaque dois qu’une tuerie a éclatée dans un établissement scolaire, les jeunes comme le personnel enseignant sont resté prit au dépourvu. Il ne savaient pas comment agir afin d’éviter le plus de morts possible et le tueur a pu trouver des victimes. Il est extrêmement difficile de prévoir des événements de ce type, mais il faudrait tout d’abord porter attention aux petits gestes du quotidien qui pourraient nous permettre de reconnaître la détresse de quelqu’un. Il faudrait prendre conscience que des événements de la sorte peuvent se produire à nouveau et à n’importe quel moment, il faut donc s’organiser pour savoir comment agir dans de tels cas.

Bref, c’est suite à des tragédies comme celles là qu’on se rend compte que la vie est très courte et que l’on peut perdre ceux qu’on aime bien plus facilement qu’on ne le pense. Il faut agir, nous devons lutter contre ces tueries qui arrête la vie de personnes qui auraient dût vivre tellement plus longtemps.